samedi 31 octobre 2009
vendredi 30 octobre 2009
jeudi 29 octobre 2009
Quand Sarkozy recycle ses bafouilles...
Discours de Sarkozy : il n'y aurait pas de l'écho?
envoyé par LePostfr. - L'actualité du moment en vidéo.
L'excellent petit journal de Yann Barthes a relevé d'étranges similitudes entre les discours aux agriculteurs du 17 février 2009 à Daumeray (Maine et Loire) et celui du 27 octobre à Poligny (Jura) prononcés par notre président. Même le lien aux relents pétainistes entre la terre et l'identité nationale était déjà présent dans le premier opus mais n'avait pas soulevé débat à l'époque.
Point commun également entre les deux évènements. A Daumeray, bourgade de 1600 habitants, 700 policiers avaient été mobilisés pour la chose. A Poligny, commune de 5000 âmes, 800 militaires ont été déployés pour protéger notre messie de poche. Suggestion à son altesse sérénissime. Pourquoi ne pas envoyer un clone voire un sosie, ça coûterait moins cher aux contribuables, ces récurrentes pantalonnade. Puisque c'est pour raconter strictement la MÊME chose...
mercredi 28 octobre 2009
mardi 27 octobre 2009
Pétain coup, t'es tout pâle !
Un bon crobard vaut mieux qu'un long discours nous rappelle un vieil adage populaire.
Florilège d'articles divers et variés sur le thème idoine :
De Lyon, d'Europe et aussi de France : identités nationales
Manuel pour expulseur étrangleur
Identité nationale
Monsieur Besson, l'élégance du doigté
Eric Besson : le bruit et l'odeur
Peut-on débattre de l'échec d'Eric Besson ?
Faut-il tondre Besson ?
lundi 26 octobre 2009
Présidence Euro-Sarko : un million par jour !
Les premières frasques du monarque commence lors du sommet de lancement de l'Union Pour la Méditerranée, immense projet Guaino-Sarkozyste dont on mesure un peu plus d'un an plus tard l'importance capitale. Même faire des ronds dans l'eau eût eu plus d'impact sur l'avenir de la planète. Passons, en Sarkozie, à défaut d'être efficace, il faut communiquer. Faire savoir à défaut de savoir faire. Seul l'instant présent compte, il faut se faire mousser. Ainsi donc, pour la circonstance, 43 chefs d'états étrangers ont été invités au frais de la princesse ( en l'occurrence vous et moi) à se sustenter en toute simplicité au Petit Palais pour la modique somme de 1.010.256 euros.
Au total, les dépenses pléthoriques de la présidence européenne française s'élèvent à la bagatelle de 171 millions d'euros, soit un million d'euros par jour. La cour des comptes a recensé 489 manifestations, dont 9 sommets internationaux, 25 réunions interministérielles, 328 séminaires, des symposiums, etc. Elle a pointé l'aspect "parfois dérogatoire, voire irrégulier, des procédures suivies". Elle s'est interrogée sur l'utilité de tout ce décorum. A titre d'exemple de ce gaspillage intempestif, on y apprend que la commande toute spéciale d'un logo célébrant la présidence française (voir en haut à droite) à un designer de renommée internationale (Philippe Starck selon toutes vraisemblances) aura coûté 60 000 euros.
Quand suffisance et insuffisance (de rigueur et de responsabilité) sont ainsi révélées au grand jour, on est en droit de se poser des questions sur la pertinence de la gestion actuelle de notre cher et beau pays...
dimanche 25 octobre 2009
23 ans et déjà cossard...
H16, le sympathique kiwi expatrié au nom de code très chimique, le révèle sur son blog. Il aime quand l'Hérétique lui fait des guilis-guilis. Pour l'heure la chatouille en question prend la forme d'une chaîne un brin sado-maso pour les vieilles choses que nous sommes devenues. Une proposition à peine honnête de voyage dans le temps en quelque sorte. Sur un thème d'actualité cependant. Ainsi donc l'homme à la dentition presque parfaite m'interpelle et me demande ce que je faisais à 23 ans. Il prétend pourtant le savoir puisqu'il évoque dans ses écrits mon passé de chippendale. Je lui avais pourtant demandé de rester discret sur cet épisode peu glorieux de mon existence mais vous savez comme sont les gens, tenir sa langue, surtout quand elle est chargée pour cause de libations intempestives, devient un exercice quasi-impossible.
Je nuancerais tout de même son propos. Je n'exerçais ce rôle qu'à la tombée de la nuit, tel un vampire à demi-nu, assoiffé de rombières en mal de sensations fortes. Le reste du temps, j'essayais bon an mal de gagner ma vie. J'avais arrêté de poursuivre mes études sans jamais les rattraper après un deug de Math. Un comble, moi qui exècre cette discipline, orientation quand tu nous tiens... Je m'étais alors inscrit par dépit à l'Ecole Normale de garçons de Savenay, petite bourgade située à une trentaine de bornes de ma ville de toujours, Nantes où je partageais avec mon amie un tout petit appart chantenaysien. L'avantage est que le normalien est payé pendant ses années d'études. Mais mes amours me captivaient bien plus que les cours de pédagogie dispensés par mes doctes professeurs. Je séchais plus souvent qu'à mon tour aussi bien leurs cours magistraux que leurs travaux pratiques.
Un jour deux collègues avec qui je faisais parfois le voyage en voiture jusqu'à Savenay, me tirent du paddock, l'air affolé. Ils me disent que des contrôles de présence ont eu lieu et que les absents ne toucheront pas leur salaire. Ni une ni deux, je saute dans leur automobile et pendant tout le trajet, j'angoisse sur mon devenir immédiat. A l'arrivée, ils éclatent de rire et m'avouent que tout ceci n'était qu'une vaste blague et qu'ils m'invitent au resto. Soulagé, j'ai commandé trois fois des frites et au moins autant de carafes de vin. La vie était belle à l'époque...
Unique et Commun à la fois, Disparitus et Coucou, entre autres ont planché sur ce thème douloureux.
samedi 24 octobre 2009
Mariage refusé à Loudéac
En Sarkozie, la Brice attitude fait des petits. A Loudéac, charmante ville de Bretagne, Gérard Huet a refusé de marier un couple. Le juge des référés de Saint-Brieuc lui a donné tort et l'a sommé d'unir le dit-couple. Ci dessous, on lira la missive de la piteuse justification de l'élu. Une insulte aux fondamentaux du respect des libertés individuelles. Un verbiage populiste aux effluves nauséabondes...
Mariage de complaisance : le mariage qui dérange
Alors que nous traversons une grave crise économique, comment aurais-je pu marier sans m'y opposer, deux étrangers d'origine marocaine, plus préoccupés de profiter de notre système de protection sociale que de convoler en justes noces ?
En refusant de les marier, j'ai voulu dénoncer un système qui fait la part belle à l'assistanat plutôt que de protéger ceux qui se lèvent tôt le matin, pour gagner leur vie en toute honnêteté ! Rappelons en effet, que le mariage de ces deux étrangers, leur donne la possibilité de toucher le Revenu de Solidarité Active, des Allocations logement et de bénéficier de la Couverture Maladie Universelle. Enfin, soyons certains qu'ils ne manqueront pas de demander la nationalité française !
Aujourd'hui les factures que nous recevons en mairie semblent me donner raison : impayé de cantine scolaire, impayé sur leur consommation d'eau... Les Restos du Coeur les voient chaque semaine et pourtant le mari a trouvé du travail sur la zone industrielle. Alors où va l'argent ? Car pour l'instant, c'est la mairie qui paye, donc nous chers contribuables !
Alors, à tous les bien pensants qui ont cru bon de s'indigner verbalement sans apporter de soutien matériel à ces étrangers, je réponds : trouvez-vous normal que l'on oblige les maires à marier des étrangers, dont l'un d'entre eux a falsifié des papiers d'identité, a été reconduit à la frontière, est revenu et ose demander le mariage alors qu'il est sous le coup d'un arrêté d'expulsion ?
Après avoir dénoncé cette absurdité du droit, je compte maintenant sur notre député Marc LE FUR pour déposer une proposition de loi limitant ces abus. En effet, tant que la justice de notre pays continuera à défendre l'indéfendable, les étrangers en situation irrégulière, pourront dormir tranquilles !
Gérard Huet, maire de Loudeac
En réaction à cette lettre, un appel du Collectif Citoyen et Républicain du Centre Bretagne a été lancé.
vendredi 23 octobre 2009
Portrait de Frédéric Lefebvre par Jacques Weber
On attend avec impatience la réaction du pitbull élyséen...
mardi 20 octobre 2009
Le complot politico-médiatique
Affaire Mitterrand&Sarkozy: la faute aux médias?
envoyé par LePostfr. - L'info internationale vidéo.
Ainsi donc un complot politico-médiatique visant à détruire notre chef valeureux Nicolas Sarkozy a vu le jour en notre beau pays. Ce n'est pas la petite équipe jeune et dynamique de Tes reins et terroirs qui le dit, on ne nous croirait pas, ce sont d'honorables sommités de l'UMP qui l'affirment. Le plus véhément de la meute reste comme d'habitude le pitbull Fred mais le gentil caniche Xav ne laisse pas sa part aux chiens.
Ce nouveau tir de barrages nous éclaire, si besoin est, sur la stratégie désormais systématique des sbires de l'UMP face aux médias. Les grands communicants de l'Elysée décident de quelques mots-clés en guise de réponse à une affaire et ensuite, du porte parole jusqu'au premier ministre, en passant par le secrétaire général, le fils du chef et le jardinier du faubourg St-Honoré, chacun décline la parole divine. Tels des perroquets, tous répètent à longueur de journée la même litanie avec les mêmes mots. Effets recherchés : cohérence, unanimisme, symbiose...
Tout ceci n'est évidemment que pure façade mais cette artificielle harmonie autorise le monarque à perpétuer sa dérive autocratique. A l'aune de cette façon de procéder, on comprend mieux quelles qualités doivent posséder les thuriféraires du guide suprême. Culte de la Soumission, art de la flagornerie et absence totale d'états d'âme...
dimanche 18 octobre 2009
Inconscience ou provocation ?
Le 13 octobre, en pleine polémique sur la vraie-fausse élection de son fils Jean à la tête de l'EPAD, voilà ce qu'osait déclarer le chef de l'état au cours d'un discours sur la réforme des lycées. A ce niveau de cynisme, on ne sait si on doit rire ou pleurer. Soit personne de censé n'a relu ce qu'un obscur scribe coupé des réalités du monde a pondu dans le bunker palace hôtel de l'Elysée, soit le monarque a sciemment laissé passer cette saillie surréaliste. Pour passer en force et pour affirmer sa puissance au yeux de l'opinion. Dans les deux cas, on ne peut être qu'inquiets. Dans le premier, on peut s'interroger sur la pertinence des gens qui entourent le roi délire. Dans le second, on se dit que la dictature constitutionnelle a déjà commencé...
Petit rappel à divilguer. Ainsi parlait le candidat Sarkozy pendant la campagne 2007.
samedi 17 octobre 2009
Une "petite reine" qui se néglige...
Selon le Parisien, "le parquet de Paris a confirmé ce mardi l'ouverture d'une enquête préliminaire après la découverte, pendant le Tour de France 2009, de matériels médicaux suspects comme des «seringues et des perfusions». Cette enquête, ouverte en juillet, a été confiée aux gendarmes de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP). "
Selon LeMonde.fr, citant une source judiciaire, "plusieurs équipes, dont Astana, la formation du vainqueur Alberto Contador et de l'Américain Lance Armstrong, sont concernées par ses investigations». L'article du quotidien suggère par ailleurs que «l'enquête devrait déboucher fin octobre sur l'ouverture d'une information judiciaire".
Le Tour est à l'égal de la société toute entière, en décomposition avancée. Un monde où l'argent sale est roi et où les magouilles, les trucages, les subterfuges et les chausse-trappes ont remplacé depuis longtemps les valeurs initiales de la "petite reine". Quels que soient les cadavres laissés sur le bas-côté de la pente savonneuse de l'horreur-Christian Vandenbroucke en est le dernier martyr-, une seule idée prévaut chez les spéculateurs de la bicyclette : the show must go on !
vendredi 16 octobre 2009
jeudi 15 octobre 2009
Louise Bourgoin célèbre le Prince Jean
mercredi 14 octobre 2009
mardi 13 octobre 2009
lundi 12 octobre 2009
dimanche 11 octobre 2009
Lolita par Nabokov
Le matin, elle était Lo, simplement Lo, avec son mètre quarante-six et son unique chaussette. Elle était Lola en pantalon. Elle était Dolly à l'école. Elle était Dolorès sur les pointillés. Mais dans mes bras, elle était toujours Lolita.
Lolita a été porté à l'écran par Stanley Kubrick (1962), avec James Mason,Peter Sellers, Shelley Winters et Sue Lyon, puis par Adrian Lyne (1997), avec Jeremy Irons, Melanie Griffith et Dominique Swain.
Le nouvel ordre moral permettrait-il la publication d'une telle abjection ?
samedi 10 octobre 2009
vendredi 9 octobre 2009
Ma belle-doche et moi
Qui n'a pas souhaité un jour dire du mal de sa belle-mère. Beaucoup d'histoires circulent à ce propos et il n'est pas question ici d'en extraire le florilège. Le fait est que la belle-mère alimente l'écuelle de bien de festins chez beaucoup gendres.
A défaut de dire ce qu'ils pensent sincèrement de leurs mamans ou sur leurs propres femmes, ils se libèrent sur la « pièce rapportée », la souffre-douleur idéale. Un homme courageux préférera mille fois épancher sa bile sur la belle-mère que de signifier le fond de sa pensée à sa propre épouse. Imaginez-vous le tableau si tel était le cas ? Aucun sarcasme, aucune perfidie, aucun coup bas n'est épargné à celle dont la simple erreur consiste à être la maman de l'épouse ou du mari de l'autre.
Sinon tous, du moins une grande majorité éprouve pour la belle-mère de quoi se réjouir en réjouissant le convive. Pas une soirée pendant laquelle son évocation ne viendra l'agrémenter d'un sarcasme.
Le sarcasme pouvant se transforme en franche rigolade quand il n'atteint pas le succès escompté. Exemple ce fait divers survenu aux États-Unis, à Fort Worth, au Texas.
Pensant que sa belle-mère possède un matelas bien bourré, Charles Ray Fuller, jeune homme de 21 ans, après avoir subtilisé le carnet de chèques à la belle-doche, s'est présenté devant les guichets de la banque locale et avancé un bras décidé, au bout duquel la main tenait fermement un chèque d'un montant, tenez-vous bien, de 360 milliards de dollars. Les yeux plus gros que le ventre ou la bêtise à fleur de cerveau, cherchez l'intrus dans cette histoire de jolie-maman et de bonheur absolu.
Interrogé, il a déclaré qu'il aurait pu s'en tirer avec une petite somme, mais qu'il a préféré tenter le tout pour le tout. Arrêté, il a maintenant tout le temps de peaufiner ses futures arnaques au chéquier en prenant conseil auprès des experts avec lesquels il va partage le pénitencier.
Mieux que ça. Peut-être qu'après avoir médité sur sa bêtise et s'en être débarrassé, disposant de tout son temps, lisant, il pourra méditer ce propos de J.J. Rousseau dans « Rêveries d'un promeneur solitaire » : « ...mieux que tout cela, je déracinai de mon coeur les cupidités et les convoitises qui donnent du prix à tout ce que je quittais. »
Mais avant d'en arriver là...
lundi 5 octobre 2009
La clé Deschamps ?
dimanche 4 octobre 2009
Le calendrier Erby "Cévennes 2010" est arrivé
L'ami crobardier Erby Kezako, collaborateur émérite de ruminances depuis ses débuts, vous propose de télécharger gratuitement un joli calendrier intitulé Cévennes 2010, recueil de douze peintures numériques.
Effeuillé de raie bouclée aux jeune pousses d’épicéa
Il ne faut pas les confondre avec les sapins (voir encyclo) ni surtout avec les IFS, ces sortes de sapins de cimetière qui sont mortelsAu printemps, après les gelées, on cueille les jeunes pousses vert tendre pour les cuisiner, elles ont un goût citronné très agréable. On utilise aussi sa résine , et autrefois en période de famine on coupait la seconde écorce pour la faire bouillir ou la mettre à sécher et la moudre pour en faire une farine.
Comestible, donc médicinal, en tisanes expectorantes (la toux), sudorifique (faire suer), bonne pour le foie, l'asthme. Avec sa résine et du miel on en fait des bonbons pour les maux de gorge, on tire aussi de cette résine la térébenthine, la poix, le noir de fumée, on en faisait des emplâtres médicinaux (mal de poitrine)…
Passons à la raie, je vous fais un topo ? non ce serait trop long, vous l'achetez toute dépiautée chez le poissonnier c'est tout.
INGREDIENTS :
200 gr de pousses d'épicéa - 600 gr d'aile de raie bouclée - 4 piments oiseau - 1/2 jus de citron - 2 cl de sauce vinaigrette.
TECHNIQUE :
- faire cuire les pousses d'épicéa avec 1 litre d'eau et les 4 piments
- refroidir la cuisson (dans le bac de l'évier rempli d'eau froide, plongez votre casserole)
- ajouter le jus du 1/2 citron et la raie, ramener à ébullition et cuire 3 minutes, arrêter la cuisson, couvrir et laisser refroidir
- déposer les pousses d'épicéa dans chaque assiette,
- enlever délicatement les cartilages de chaque morceau de raie et déposer ceux-ci sur les pousses
- napper de vinaigrette et décorer d'un morceau de piment ou de tomate confite.
-Servir avec des pommes vapeur (plat préféré de mes anciens) ou de riz blanc au beurre.
Boire avec un bon blanc sec.
la pecnaude
Un Savennières bien sûr !
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vendredi 2 octobre 2009
Rosselin Crusoé nous parle de Vendredi...
Sur l'île déserte et désespérément unanime de nos médias traditionnels, un petit souffle, voire un petit chant nous vient de l'oiseau pirate. Un gazouillis salubre au milieu d'un monde de brutes épaisses. Loin de Lefebvre et de sa castration chimique si opportunément évènementiel, à dix mille miles des répugnantes Hortefinades et autres Bessoneries, Jacques "Robinson" Rosselin nous parle de ses projets pour Vendredi. Et ça nous fait chaud au cœur. D'entendre un homme de presse qui pense encore différemment. Vivement la prochaine mouture !
jeudi 1 octobre 2009
Dans les coulisses de l'interview du Président à New York par Laurence Ferrari….
On avait senti, lors de l'interview new-yorkaise, bien peu de répondant chez nos deux présentateurs du 20h face à la verve syncopée du chef de l'état. La conclusion de cet édifiant making of tourné par les caméras élyséennes nous confirme au moins une chose. La joliment carrossée Ferrari roule à fond pour qui vous savez. Sur le très officiel site présidentiel, la vidéo ci-dessus est même intitulée Dans les coulisses de l'interview du Président à New York par Laurence Ferrari. Curieux mélange des genres que nous offre ici le fleuron de la maison Bouygues...